Trouvé dans "Le Monde" du 26 avril 2020
Le
confinement est propice à l’observation de nos compagnons ailés depuis
nos fenêtres, balcons et jardins privés. Mésange charbonnière ou grive
musicienne ?
Moins
de bruit, de pollution aussi, des rues désertes : depuis le
confinement, les canards des bords de Seine se dandinent sur les
trottoirs parisiens, les méduses flânent dans les canaux vénitiens,
tandis que rorquals et dauphins s’aventurent dans les ports
méditerranéens. Les oiseaux et leurs chants n’ont jamais été aussi
perceptibles dans les villes en sommeil, et l’oreille du confiné, nez à
la fenêtre, un pied au jardin ou sur le balcon, aussi attentive à leurs
allées et venues mélodieuses.
Mais
que savons-nous de ces emplumés, dont on compte plus de 570 espèces en
France ? Au choix, ou complémentaires, six pistes pour parfaire ses
connaissances aviaires.
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