Saint Martin vécut
au 4ème siècle de notre ère. Il se rendit célèbre en partageant
sa tunique avec un déshérité rencontré au bord du chemin. Au
sixième siècle, il y avait quelques 140 monastères ou abbayes
relevant de ce saint. En outre, beaucoup d'églises et de paroisses
ont élu ce généreux Martin comme patron de leur église ou de leur
communauté.
Mais lorsqu'on
évoque Saint Martin, tout particulièrement en Ajoie et ailleurs
dans le Jura, nos papilles gustatives se mettent en émoi. Pourtant
le côté gargantuesque des agapes "martiniennes" n'ont
aucune relation avec la sobriété de ce saint. Il est donc bien
légitime de se demander aujourd'hui comment associer le boudin et
l'atriau à ce nom. On laissera toutefois aux amateurs de légendes
le soin de résoudre cette énigme.
De toute façon pour
le CAID, au mois de novembre de chaque année, seules les composantes
gustatives du menu de Saint-Martin pourront nous pousser au péché
véniel de gourmandise mais, attention, non au péché mortel de
gloutonnerie.
Notez bien sur vos
agendas
le JEUDI 16 NOVEMBRE
à 12h00
au Restaurant du
Vorbourg
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